LE BATTANT ET LA CLOCHE : retour bizarre de la petite fable exprès (?)
qui n'a jamais vu le jour. Ici, sur le marque-pages, que je
rapporte à tout hasard :
Ah, sur le pavé, cette
pauvre cloche,
De qui le battant d'un pas leste approche
Et sur qui à bras courts il tape.
C'est tout. C'est sans doute la
fatigue qui m'a empêché de terminer, d'aller jusqu'à ce
« battant qui se tape la cloche » qui me paraissait
judicieux et drôle en guise de moralité.
À l'image des journalistiques suffisants, Sollers emploie « évoquer » dans le sens de « mentionner », « esquisser », « aborder », « soulever », « dire », etc... soit complètement à côté... Je m'étonne. Serait-il donc pauvre aussi ?
Pluie, froid. Mais de belles
éclaircies...
Journée de travail sans importance. Visite de F*** au soir : il
va divorcer. Puis c'est N*** qui arrive, N*** qui me demande un
service, soit : la rédaction d'une note de comptabilité. Nous
restons seuls. Je la trouve excessivement belle. Que pense-t-elle
de moi ?
(Mais toi, où es-tu ? que fais-tu ?)
Pluie, froid...
Une lettre d'A***.
Avec des amis, nous chantons...
Visite de F*** que je
raccompagne chez elle
sous la pluie... Elle a l'air en forme...
* J.M. (XXXI) suite :
Mêmes conditions : Gibson, pour deux parties, une par canal.
Pluie, froid.Tristesse. Avec un
léger sursaut en fin de soirée.
*J.M. (XXXII) suite :
Mêmes conditions, pour un petit thème de « basse
jazzy »...