Il me reste quelques pages de Venezia. Je peine ; il y est davantage question d’Athènes que de Venise, comme si Venise n’avait été pour elle (l’autrice) qu’un prétexte à un essai philosophique sur la notion, ou le concept, de thalassocratie. Je ne suis pas sûr de le relire (et suis en panne de lecture – pas de livres, mais de lecture)