Sur le chemin de la poste, je me suis fait la remarque qu’aujourd’hui je me sentais plutôt bien. Je suis rentré, me suis préparé un thé avalé avec une gaufre et les dernières pages de Venezia. Je pense que je vais le relire, même si, au bout du compte, ce texte ne m’a pas convaincu (devais-je l’être ?) et ne reste qu’une abstraction.

 

4 août 2017