Je poursuis Le jardin des plantes. Les éclats se sont rassemblés pour constituer un texte plus « classique », plus « cohérent » (je suis tout de même étonné qu’en 1994, il ait encore usé de la narration sans ponctuation – qui, en l’occurrence, ne se justifie pas vraiment ; mais qu’est-ce qui la justifie vraiment depuis Ulysses ?). Je ne sais toujours pas pourquoi ce titre, Le jardin des plantes. (Lorsque je l’avais entamé et m’étais trouvé face à des bribes de divers monologues enchâssés, j’avais immédiatement pensé à Mix Populi – il faudrait que je le ressorte...)

 

11 décembre 2018