Je me suis levé tôt, les couvreurs viennent d’arriver avec le reste de leur matériel. Ils ont commencé hier à dresser leur échafaudage, en auront pour une quinzaine de jours si le temps le permet (je parle de la totalité des travaux, pas de l’échafaudage). Aussitôt le petit déjeuner achevé, je me suis remis à Zakuro que j’ai entamé hier – je suis allé chercher les Shimazaki commandés en fin d’après-midi… J’ai passé la soirée d’hier devant la télé, un curieux et attachant (j’emploie souvent « attachant » depuis quelque temps) film de science-fiction, Snowpiercer d’un Coréen, il me semble (je vais vérifier : Bong Jon-ho, et une série télévisée en a été tirée), puis C dans l’air, l’Ukraine et l’astuce face à la lourdeur russe. J’espère que ça paiera. Comme en parallèle des Ukrainiens embrigadés et/ou enfermés dans des camps, je lis l’histoire des soldats japonais, à la fin de la guerre, « recrutés » pour des travaux forcés en Sibérie ; il y en aurait eu six cent mille, contre cinq cent mille Ukrainiens. Ces chiffres me donnent le tournis… J’ai lu un peu Zakuro avant de monter