Je l’ai lu d’une traite. Ça se lit comme tous les Shimazaki, légers et très courts. Portrait d’un homme d’affaires japonais macho à la première personne. Intéressant. Comme d’habitude, Aki met en scène le Japon avec des personnages japonais, des préoccupations, des histoires japonaises. Pourquoi écrit-elle en français, d’autant qu’il est assez souvent maladroit (on dirait parfois une mauvaise traduction du japonais). Apparemment, il n’y a pas davantage de correcteurs au Canada qu’en France et on doit prendre ses textes sans que personne n’y jette un œil… Sinon rien. Je ne travaille pas beaucoup, suis préoccupé par mes troubles tabagiques, le temps a tourné, il fait frais sans soleil. Éléonore part demain pour l’Angleterre, Londres, puis sa mère qui, selon elle, ne va pas bien du tout (comme toujours, et je la soupçonne d’en rajouter un peu pour attirer sa fille)...