Je ne lis pas, bien entendu ; tout mon temps, et mes pensées, sont pris par ce travail de transcription. Mais les deux interviews d’hier, prévues en fin d’après-midi, ne sont pas arrivées et cela nous fait, à Innocent et à moi, deux jours de repos. J’en ai profité pour entamer Mitsuba après le petit déjeuner, à la table de la terrasse, au soleil. Je me rappelle cette histoire, ou pour le moins, le narrateur, un « shosha-man » (le correcteur l’accepte) ; c’est curieux car la précédente lecture date de 2012 – mais il est possible que ce personnage réapparaisse dans l’un des suivants lus plus récemment…

 

23 avril 2022