Ciel couvert, mais il fait toujours bon. Je ne sais plus si j’ai dit que j’avais achevé Hôzuki. (Je n’ai même pas dit que je l’avais entamé – mais ça se lit tellement vite : à peine entamé, c’est achevé ; comme Amélie.) Comme souvent, ça frôle le mélo fleur bleue, ça l’évite de justesse ; il n’empêche, c’est un peu agaçant ; mais elle est japonaise (mais qu’elle le soit à toutes forces est également agaçant)… Il me manque Suisen pour faire la soudure avec Fuki-no-tô (que je n’ai pas, d’ailleurs)