p. 195 : le curé !
On
ne peut inventer une chose pareille, car à quoi servirait de
l’inventer ?
Mais alors, quel est ce sens de cet acte, s’il est authentique (et je pense
qu’il l’est) ?
(Cette « anecdote » illustre la première
phrase du paragraphe :
« On devient son contraire. »)…
Le ton général, le parti-pris du vrai, de
l’authentique, me fait songer à celui des Poulpes
de Guérin (toujours pas achevé) et à ce que me disait Évrard à ce sujet :
« J’aime bien le ton des écrivains de cette époque. » C’est-à-dire,
cinquante, soixante…
7 novembre 2001