Jouanne, que j’ai rencontré une fois à la
Convention de Lys je ne sais plus en quelle année, qui, d’après Évrard, a
cessé d’écrire ; texte au titre interminable comme il était de mise
à l’époque ; je l’ai connu plus inspiré et je ne vois pas bien
ce que ce texte fait là. De même pour Dorémieux qui écrivait (écrit ?) à
ses moments perdus, qui était plus habile en directeur de collection ou de
revue qu’en « écrivain » ; « L’homme qui a
gagné la mer », bien représentatif du ton de l’époque, thème et
écriture ordinaires, conventionnelles, clichés, exercice de style – essai
d’écriture – manifestement. Sa présence là ne peut se justifier
qu’à titre de remerciements pour son travail en général, efficace à
n’en pas douter… Je relève la similitude de la situation avec
l’un des épisodes de SdeF, l’homme qui la nuit retrouve une
inconnue avec laquelle il fornique contre la paroi d’un blockhaus.
Étrange… Sylviane Corgiat, que le découvre ; je ne l’ai pas
achevé…
11 juillet 2002