
Suivent Pierre Stolze, Raymond Milési, Richard Canal,
Yves Frémion dont j’ai à peine entamé les textes. Je connais tous ces
auteurs, ai lu d’autres de leurs textes : pourquoi le choix ici de
la banalité et, pour certains, de la médiocrité ? Puis suit L’aube
des autres de Jean-Pierre Hubert qui rachète tout ce qui
précède. Beau, et fort. Puis Jacques Barbéri et Henry-Luc
Planchat, collaboration qui ressemble à la majorité de ce que donnent les
collaborations, c’est-à-dire quelque chose de faussement
drôle et d’affligeant. Puis René Durand dont je ne puis rien
dire tant cette nouvelle me déconcerte et, je crois, me trouble. À
suivre… Je note avec agacement (et amusement aussi, tant
c’est dans le ton de légèreté de l’ensemble) la multitude de
coquilles, de fautes de frappes et d’orthographe, d’incorrections
typographiques. Qui s’est chargé des épreuves ? qui les
a relues ?
19 août 2002