p. 36, 37 : Éluard
p. 63 : Eliot (puis 168 à 172)
« As we grow older the world becomes stranger, the pattern
more complicated of dead and living.
Not the intense moment isolated, with no before and after, but a lifetime burning in
every moment
and not the lifetime of one man only but of old
stones that cannot be deciphered. »
p. 100 : Michaux
p. 136 : Cocteau, qu'il ne semble guère apprécier
p. 144 :
Gide, puis 145 :
« Le problème n'est pas de se demander s'il est
question d'être relu ,
mais de se dire : moi
j'écrirai quoi qu'il arrive,
pour garder vivante cette chose qui exprime le fait que je suis
vivant. »
(allusion au mot de Gide : J'écris pour être relu.)
J'aime cela. Je suis vivant par l'écriture, et par l'écriture
sont vivants
tous ceux et celles que
j'entraîne avec moi.
Est-ce prétentieux de dire (déclarer, affirmer)
qu'ainsi ils accèdent à l'immortalité ?
...