p. 146 :
citation grecque. Non traduite...
Nouvelle preuve du mépris de l'auteur (et, en l'occurrence, du traducteur)
pour le lecteur... Vais-je parvenir à le faire ? (À moi, Apollos... )

p. 155 : Stendhal, puis :
« D'une manière sporadique, depuis deux ans, plus activement
depuis notre retour de Boursa jusqu'à la fin de 49,
j'ai écrit d'une façon beaucoup plus désordonnée et moi aussi
sans me gêner sans effacer
» (allusion à Stendhal cité auparavant)
« Mais je n'avais pas l'intention d'écrire l'histoire de ma vie “ jour par jour ”.
Nous vivons notre vie jour après jour ; nous ne l'écrivons pas
– écrire, quoi que l'on fasse, n'est qu'une partie de la vie. »
Je sens là une quasi-contradiction avec le passage précédent.
À méditer...