À ma droite, ma cinquième cigarette fumée dans les temps bien qu’il y ait eu la répétition avec Gonzague. J’avais fumé la troisième au bureau, et je craignais de céder. Mais je n’ai pas failli et j’ai même attendu son départ pour pouvoir fumer celle d’après le repas. Je l’ai fumée en poursuivant East of Eden. Le plaisir est intact, mais je lutte un peu contre l’inconfort de la lecture (d’autant que mes doigts me font un peu souffrir : est-ce l’influence de Kate qui vient d’essayer un nouveau médicament contre l’arthrose – comme s’il existait un quelconque remède) et il me tarde un peu d’en voir la fin. En plus, je peine parfois un peu avec le langage direct du cru, certains dialogues qui résisteraient même à un dictionnaire…

 

19 novembre 2011