Après le petit déjeuner, je suis remonté avec toutes mes affaires, lunettes, tabac, feuilles et le Sollers que j’avais repris cette nuit au lit. Je me suis installé sous le velux avec le fauteuil à bascule pour profiter au mieux de la pauvre lumière de ce jour pluvieux. La fête à Venise, l’art, Heidegger, Cézanne, Monet ; comme d’habitude, je vais entre enchantement et agacement. Il pourrait tout de même écouter d’autres musiques ; Mozart, soit (et encore), mais Haydn est tout de même l’un des pontes de la ringardise...
24 juin 2012