Florville et Courval ou le fatalisme.

 

p. 60, note après une longue réflexion sur les vertus du bien et du mal
(et que suit une curieuse et assez surprenante apologie de la vertu)

 

p. 64 et suivantes, apologie de la religion,

et en particulier du christianisme, supérieur aux autres...

 

la formule « une » campagne, que je pensais être actuelle

 

(cette écriture a tout de même une élégance

qui la soustrait de tout ridicule)

 

p. 87 : « cette intéressante fille ».

Quel sens faut-il accorder à « intéressant » ?

 

p. 88 : « lorsqu’un… »

 

p . 89 « ressouvenirs »

 

p. 90 « On s’assied… » paragraphe à la Céline

 

Peut-on faire autre chose que de rire

aux dernières lignes de ce texte ?

 

8 janvier 2002