Je saisis les dernières pages du cahier des recettes, à ma place, à l’intérieur, face au jardin. Je vais entre petites pointes de bonheur et vague mélancolie (et je repense à ce qu’écrit Saer, le point neutre où se situe l’homme, où devrait se situer l’homme – à retrouver –, c’est-à-dire au juste milieu entre enthousiasme et indifférence). De même, je vais d’une chaise à une autre, celle de l’écran et celle du cahier…