Je viens d’achever L’Ancêtre avec ma troisième cigarette sur la terrasse. C’est vertigineux. Il est drôle que ce texte, à bien des égards, coïncide avec mon état présent (entre enthousiasme et indifférence), avec toutes les questions qui m’agitent (et dont je ne dis rien – mais ce sont toujours les mêmes, non ?), notamment au sujet de Mai qui, tout à coup, me semble totalement vain. Drôle aussi que le dernier mot soit « étoiles » que je fixais la nuit dernière, d’une précision incroyable dans le ciel noir et qui m'ont amené à des considérations métaphysiques inédites… Je vais tâcher malgré tout de me remettre à Mai…
3 juin 2011