Alors, j’en suis revenu à Cordier, et faute de réel élan littéraire constructif – en le sens de mes écrits – dont l’absence ne me pèse pas vraiment, mais dont je ressens tout de même un certain manque, j’ai pensé à un vaste projet qui tout en gardant la structure de L’Éphéméride serait détaché de la contrainte du texte qu’il supposait... Il lui fallait un titre et une certaine ligne conductrice, et c’est là que Cordier intervient, car m’est aussitôt venu à l’esprit le titre Rapport sur le Monde et son sous-titre « Drachme en 365 tableaux » dont l’histoire serait celle d’un homme assis à son bureau en train de regarder défiler les autres... Voilà. Ça démarre le 1er janvier 1991 et ça s’achève au plus tôt le 31 décembre de la même année [...]. »
Concernant Franklin Desmet, quelques explications s’imposent, explications qu’il s’est lui-même attaché à apporter en pages 75 et 76 du Cahier n° 4 des Cahiers d’Andromède. En voici l’intégralité, parues sous le titre Éphéméride de l’Univers...