C’est ce que j’ai fait, c’est-à-dire appuyer du doigt sur la fermeture éclair afin qu’elle se loge entre les cuisses et que, de cette manière, de la place de l’observateur, elle ne se voie plus...
Restait la culotte ; j’ai procédé de la même manière : découper et couper ce qui pouvait l’être, puis enfoncer le reliquat indésirable dans le même creux que formaient les cuisses jusqu’à ce qu’il soit invisible...
Ainsi, c’était terminé. Ainsi Rolande, nue devant moi, n’était plus Rolande, mais ma Nadège de Rops ; et si je me fiais au souvenir qui m’en restait et négligeais le déshabillé arachnéen – le négligé ! – que l’originale portait (ainsi que les bas enfilés jusqu’à mi-cuisses et tenant d’eux-mêmes sans l’aide de jarretelles – et ces deux éléments vestimentaires n’altéraient en rien sa nudité), la reproduction était tout à fait acceptable, la ressemblance presque parfaite, et même, je peux bien l’avouer, particulièrement troublante...