Pour accompagner cette lecture* (alternativement et non simultanément), une gigantesque illumination musicale : l’opéra de Stockhausen, Samstag aux Licht. C’est tout simplement prodigieux, je n’ai rien écouté de tel depuis des années...

Pour clore cette journée, commencée exécrablement dans les affres du porte-monnaie (que font les gens dans mon cas qui n’ont pas Vonnegut et Stockhausen sous la main ?), une rencontre très étrange dans le train, la première du genre depuis bientôt deux ans que je le prends... Je te la raconterai bien par le menu, mais il est tard et j’ai encore Richard à rédiger...

 

* Hocus Pocus de Vonnegut