– Mais il est toujours là, monsieur le vétérinaire. Vous aviez dit quelques semaines, et il est toujours là. Jusque là il a vécu, et maintenant si on pouvait lui donner quelque chose pour qu’il souffre moins...
– Non, madame. Tout cela est complètement irrationnel. Je vous l’avais dit. Il n’y a rien à faire.
– On pourrait pas lui donner quelque chose pour... ?
– Non, madame ! »
Et il a raccroché...