Le cinquième s’intitule Isabelle Adjani. Simplement... Lorsque je l’ai tiré du bac, je me suis étonné de sa présence, de son existence, comme si j’avais ignoré qu’elle avait effectivement enregistré quelques chansons que Gainsbourg lui avait écrites. Mais il est vrai que j’ignorais l’existence de cet album et que j’en ai été étonné. Puis frappé. Puis profondément troublé...

Sans me poser davantage de questions, je l’ai joint aux quatre autres en me disant que c’était pour Gainsbourg que je le prenais (mais rien ne m’attache vraiment à lui) et que si ce n’était pas pour lui, c’était Roseline qui vraisemblablement l’aimerait (elle n’a jamais pu supporter la simple vue d’Adjani).

J’ai payé, suis sorti, et ce n’est qu’au moment de passer la porte d’entrée de l’immeuble que je me suis décidé à évacuer Gainsbourg et Roseline de mon esprit pour ne plus accepter qu’Isabelle qui était la seule et unique responsable de mon achat...