Ce
que j'aime et accepte chez Ramuz, je le déteste chez les autres. Il y a le
style, bien sûr, encore qu'ici il ne soit souvent qu'à l'état d'esquisse, mais
il y a surtout le fait qu'il ait tout dit : la montagne, les champs, les prés,
le soleil, et les gens qui les animent. Nous sommes en 1910, et il a tout dit.
Tout ce qui a suivi, chez les autres, ne pouvait être que répétition (à part le
style). Je ne lis pas la répétition...
29 août 2000