J’ai délaissé allemand et espagnol, lis de nouveau peu. J’avais entamé Une honorable partie de campagne dans le train, cela m’avait ennuyé et je songeais à l’abandonner. Je l’ai repris au retour, chapitre intitulé « Le Séducteur » où je découvre des choses étonnantes quant aux préoccupations du narrateur traqueur de petites Japonaises, dont cette phrase singulière : « [...] je m’attache plutôt à conquérir les fillettes du peuple, qui ont la fraîcheur candide de la jeunesse. Chaque jour, je me félicite d’avoir laissé ma femme à Genève. » Voilà qui m’intrigue. Du coup, je vais poursuivre...

 

22 novembre 2006