En parallèle Les circonstances de la vie et Carus. J’avais commencé par le second ce matin, vite abandonné à cause de mon état de fatigue, pour passer à Ramuz qui ne demande aucun effort de concentration. Suite Frieda et Émile à Lausanne et M. Lambert, le Français à la belle moustache qui fait palpiter le cœur de Frieda. Hm. C'est comme un téléfilm pas trop mal ficelé, ou du Zola sans le poncif, le cliché, la formule toute faite, sans le racoleur. Je me laisse aller à cette douce histoire sans intérêt particulier, sans surprises…

 

22 mars 2006