C'est la seule définition avec laquelle je ne suis pas d’accord et qui me concerne directement puisque je me plais à me qualifier d’être nonchalant. Il la définit comme suit : « À mi-chemin entre apathie et activité, la nonchalance est une attitude exaspérante comme toutes les attitudes flasques et tièdes. La nonchalance est la paresse hypocritement déguisée et qui mérite bien plus qu’elle de figurer parmi les péchés capitaux. La nonchalance est une négresse obèse qui grasseye en traînant les pieds. » Sa vision de la nonchalance ne peut être la mienne et je ne peux évidemment me reconnaître dans cette définition-là qui, en outre, me semble aller à l’encontre de l’étymologie (qui se trouve dans le cahier manquant de mon Robert, à suivre)...