Soleil. Dans une heure, je pars pour l’appartement pour une journée ou deux. Je lis Paroles dans son édition de 1949 que j’avais conservée parce que je la trouvais jolie. Si j’excepte les chansons tirées de ses « poèmes », je ne connais rien de lui ; en tout cas, je ne l’ai jamais lu. Je ne vois pas bien ce qu’on lui reproche, j’y lis des choses étonnantes, que je rapproche du surréalisme ou de Maurice  (je ne sais pas s’il aimait Prévert). J’ai laissé tomber Hallier. Pour le reste, rien qui vaille d’être rapporté.

 

2 novembre 2016