Hier, j’ai décidé de me coucher tôt. Je n’ai
allumé l’écran que pour les émails, puis, après avoir enfin achevé Pasolini, je
me suis mis au lit avec La divine
comédie de Sollers toujours en cours (j’ai un certain mal à m’y
accrocher, encore que le passage entamé, qui concerne directement Dante, m’ait
intéressé). Il n’empêche, c’était la nuit lorsque j’ai éteint…
22 juillet
2003