131 « après qu’il a eu fait cours »

« […] j’ai surpris sur sa chemise une auréole de sueur après qu’il a eu fait cours. » Comme c’est vilain, et baisse tout à coup, relâchement, après le « passage juif » comme si c’était l’adolescente qui tout à coup reprenait la plume…

 

136 passage de l’imparfait au présent qui devient une généralité…

Pour une même scène : passé composé (tiens ?), puis présent, puis imparfait et de nouveau le présent. En soi, ce n’est pas gênant, au contraire. Mais lorsqu’elle écrit : « Jamais un garçon ne m’a ainsi embrassée […]. Cela me jette dans un état de tension épuisant […]. » C’est contradictoire, cela contredit « jamais » car le présent devient alors fréquentatif…

 

vierge

« […] il en était hors de question car j’étais vierge. » Je pensais qu’elle ne l’était plus (en vérité, ses relations avec les garçons – elle en parle plus loin – ne sont pas allées jusqu’au bout ; attouchements, baisers – mais pipes, tout de même – elle ne le dit pas comme ça)…

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