Éléonore est rentrée de Die. Je suis allé la chercher à
la gare, l’ai déposée à son école, suis rentré pour me remettre à
travailler, Albena, l’intégrale etc. J’abats du boulot. Elle
est rentrée en fin d’après-midi, repas, elle a travaillé, j’ai
travaillé, ai fait ma leçon de grec, ai achevé Petroni qui se conclut
par une « note » d’une vingtaine de pages écrites en 1960,
quinze ans après la parution. D’une certaine manière, c’est
beaucoup plus intéressant que le livre par lui-même qui est un récit de prison
de plus. Qui donc ne m’intéresse guère (j’en ai sans doute trop
lus)…
3 septembre 2002