Dans le bus et dans la salle d’attente, j’ai poursuivi La loi du plus fort. Je l’avais acheté au hasard pour le mettre en vente lorsque je me suis rendu compte qu’il s’agissait du Japon. C’est attrayant, presque captivant. Je pense à César en le lisant, et devrais lui en fournir un exemplaire avant son départ ; dans une certaine mesure, ce texte contient tout le Japon…