p. 37 :
« to channel surf » pour « to zap
»...
Arrivé à la page 46 où le voile commence à se lever, où je commence à découvrir
que Proust ici n'est tout au plus qu'un prétexte
habile pour elle raconter sa vie (bel anglicisme), à commencer par sa famille et
son enfance. Où je découvre aussi qu'elle
est juive. Est-ce vraiment étonnant ? (Et
je n'oublie pas que je sors tout juste de
Roth...
(J'attends avec une impatience légitime la première mention à l'holocauste…)
(my father, my mother, my uncle, my
grand-ma, my sister etc.)...
17 janvier 2001