J’ai tâché de poursuivre Proust sur le balcon avec ma première cigarette, mais toutes mes pensées vont à cette douleur au dos. Puis je marche dans l’appartement en frottant cette partie sous les côtes. Ça va, ça vient, et j’ai tout de même l’impression que ce n’est pas interne. L’effet de la cigarette sur mon crâne n’arrange rien. Je vais me mettre à la saisie contre la baie vitrée. La plage commence à se peupler, certaines personnes sont déjà là depuis plus d’une heure. Hier, Jeanne m’en parlait, me les décrivait. « Tout un spectacle ! Je n’arrive même pas à lire ! » En effet…