Notes :
p. 13 : physique et moral, eau chaude et volupté
:
« [...] l'eau chaude est liée à l'idée de
mollesse, de volupté, et donc de péché ; ainsi préconise-t-on les ablutions
partielles à l'eau fraîche, ce qui permet de réconcilier l'hygiène et la morale.
»
Puis, bidet :
« [...] quant au bidet, les femmes l'utilisent
pour l'hygiène intime, qui reste un sujet tabou, et ceux qui osent en parler
dans leurs manuels recommandent expressément de fermer les yeux pour se livrer à
ce type de toilette. »
Dans le même ordre d'idée, p. 14 :
« En règle générale, les femmes portent une chemise, ou
une liquette, pour éviter de se voir nues, et se
lavent par-dessous. »
p. 16 :
« Le bain complet pris dans la baignoire reste pour la population française
soit un soin médical, soit une pratique “ fin de
siècle ” condamnable. »