Repas, vaisselle, je suis ensuite monté poursuivre La Prisonnière. Puis Éléonore est montée pour le baiser de la nuit. (« I’m tired », rituel journalier et je m’aperçois à ces moments-là que je ne le dis plus, car je ne le suis plus.) Je la trouvais toujours aussi belle, je l’ai enlacée, lui ai embrassé les yeux, le nez, le front, tout le visage. Je me sentais gonfler...

 

2 août 2016