Les deux petits viennent de monter ici en galopant ; je sens que je vais bientôt déménager. Une tâche pour supporter ça, c’est-à-dire qui ne demande pas de concentration particulière : les notes de La Prisonnière, multiples (pour les passages à rapporter, je vais m’aider, comme les autres fois, de la version numérique de Feedbooks, encore que je me sois aperçu qu’il ne s’agit pas tout à fait de la même ; la version Garnier-Flammarion s’aide des manuscrits non joints au texte de la première édition après la mort de Marcel – inachevé – ; celle de Feedbooks serait donc celle de la première édition – je la possède, il faudrait que je vérifie– si j’en ai l’énergie)...

 

99 Il se trompa

« Quand, beaucoup plus tard, il apprit qu’Albertine habitait alors avec moi, comprenant que je l’avais cachée à tout le monde, il déclara qu’il voyait enfin la raison pour laquelle, à cette époque de ma vie, je ne voulais jamais sortir. Il se trompa. » J’aurais attendu « il se trompait » ou « s’était trompé »…

 

103 « malles auprès de qui » ?

Version feedbooks :

« […] ma mère avait-elle été heureuse en apprenant qu’Albertine partait avec nous et en voyant que, côte à côte avec nos propres malles (les malles auprès desquelles j’avais passé la nuit à l’Hôtel de Balbec en pleurant) […]. » D’où sort cet « auprès de qui » ?...

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