Notes :

 

52 le cul…

« C’est de l’inverse que pâtit le Beaujolais […], soit des vins industriels,
soit des vins de l’élite. Le Beaujolais a le cru entre deux chaix. » Très beau…

 

57 « […] d’un chiroubles tendre, frotté d’olivette, d’un fleurie
qui justifie son nom par des notes de roses, d’olivette, d’iris […]. » 

 

128 « Le viognier était considéré comme un cépage de troisième ordre, alors qu’on
apprécie aujourd’hui […] ses arômes d’olivette, d’abricot et de pêche. »

 

151 la perche…

« Deux hommes traversent une vallée, l’un derrière l’autre, les

deux extrémités d’une perche reposant sur une de leurs épaules. »

On voit parfaitement la scène, mais la description n’est pas juste. Ce ne sont pas les deux extrémités (car, alors, on aurait fait se rejoindre les deux extrémités – et même les extrémités, simplement, puisqu’il ne peut y en avoir que deux, comme les mains, les yeux – et la perche aurait pris une forme circulaire), mais chaque extrémité. Mais comment décrire précisément cette scène : « Deux hommes traversent une vallée, ils portent une perche, chaque extrémité reposant sur l’une de leurs épaules. » Ce n’est pas encore ça…

 

163 « […] (gaieté odorante de ses fleurs, olivette pour le
chiroubles, coquelicot pour le beaujolais-village […]. »

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