L’Archiveur, une longue lettre à James suite à son SMS pour m’apprendre la mort de Mawra, la boutique, etc. Je poursuis Perrin (elle a travaillé avec Lelouch), me laissais emporter (ça se lit bien, c’est bien écrit – malgré les bourdes –, agréable, même s’il n’y a pas beaucoup de surprises) lorsque tout à coup chute. À ce récit qui ne demandait rien d’autre que d’être ce qu’il est, est venue s’accrocher une ligne d’ordre policier. La rupture est franche, brutale et j’ai été à deux doigts de le refermer. Pourquoi vouloir écrire sept cents pages là où trois cents suffisent ? Pourquoi compliquer et rallonger quand tout est simple et suffisant ? Je crains le pire pour la suite (ça a survenu à la page 350, trois pages que j’ai dû relire pour comprendre de quoi il s’agissait et, surtout, ce que ça venait faire là). (C’est drôle, depuis que je sais qu’elle a un lien avec Lelouch, je trouve que ça pourrait ressembler à l’un de ses films, croisée des destins, entremêlement de l’intrigue – des intrigues, des récits…)