De retour à Tourbe, j’ai sorti mon exemplaire calciné pour poursuivre la lecture. Malheureusement, la réédition au Livre de Poche n’est pas un fac-similé et la pagination ne correspond pas : « Histoire du bourrelier de sa sœur et de son beau-frère » commence à la page 417 au Livre de Poche et à la page 434 de l’autre. Au fait, j’ai bien conservé le numéro du Magazine Littéraire consacré à Perec ; je l’ai vu en faisant quelques cartons – et n’ai pas eu la présence d’esprit de le mettre de côté ; à présent, il se trouve dans l’un des quatre cartons numérotés de 70 à 73, je renonce… (Lorsque je suis revenu avec la voiture ce matin, il n’y avait toujours personne dans la cuisine ; que faisaient-ils, il était plus que temps de partir ? J’y suis allé. La lumière était allumée, les stores levés. Elle se tenait au milieu de la pièce, de dos, nue… Pour je ne sais quelle raison – me revient tout à coup une bribe de rêve de cette nuit : un sexe qui va et vient entre deux cuisses –, il m’a fallu deux ou trois secondes pour me rendre compte qu’elle était nue. Je suis retourné dans la cuisine et l’ai appelée…)
27 octobre 2020