À raison de quinze pages par jour, je peux clore un
volume par mois sans problèmes. Aujourd’hui, du 1er janvier
au 11 février 1660. L’idée de la traduction jour par jour (jour
pour jour) à trois cent quarante-deux ans de distance me séduit de plus en
plus… (Voilà qui peut donner naissance à un nouveau journal dont
l’intérêt est loin d’être négligeable…)
5 décembre 2001