Aujourd’hui, du 12 au 26 février. Hier, après
avoir atteint mon quota, j’ai poursuivi la lecture de la très longue
introduction, c’est-à-dire, suite à la biographie, la manière dont est
fait le journal, la manière dont il a été écrit et des difficultés à le
déchiffrer, déchiffrage qui a amené à différents choix et donc, à une part
d’interprétation pour les « traducteurs » (car, à ce stade, c’est
du domaine de la traduction, c’est-à-dire passage d’une langue à
une autre avec toutes les incertitudes que cela suppose et comporte : le
journal de Pepys tel qu’il peut être lu aujourd’hui est bien une
traduction de l’anglais à l’anglais…)
6 décembre 2001