« Rien n’a pu m’enlever ça de la tête, à moi craignant que cette après-midi, ma femme envoyant tout son monde au-dehors et sachant que je ne dois pas bouger du bureau, elle ait demandé à Pembleton de venir. C’est ma satanée jalousie ; que je prie Dieu d’être non fondée, mais qui a mis l’enfer dans mon esprit ; que je prie le Dieu du Ciel de retirer ou alors je serai très malheureux. Puis au bureau, où nous sommes restés un moment. Plus tard, mon esprit étant dans un grand désordre, je suis rentré pour voir où en étaient les choses ; et j’y ai trouvé ce que je redoutais, M. Pembleton avec ma femme et personne d’autre dans la maison, ce qui m’a rendu presque fou. Et Seigneur, ma jalousie a désormais pris une telle ampleur que je suis monté en douce pour voir si aucun des lits n’était en désordre, ce qui n’était pas ; mais ça ne m’a pas contenté, et je suis resté toute la soirée à marcher, et bien que bientôt ma femme soit venue en haut me rejoindre et ait parlé d’affaires avec moi, je n’y ai vu que de l’impudence ; et bien que mon cœur fût plein à déborder, je n’ai rien dit, étant dans un grand doute quant à ce qu’il fallait faire. Aussi la nuit venue j’ai supporté qu’ils aillent tous au lit, et tard me suis mis moi-même au lit dans un grand malaise et ainsi me suis endormi. »