Guitry achevé, je m’apprêtais à reprendre la lecture de La comédie au fantôme quand je me suis aperçu que le marque-pages en avait disparu. Cela m’arrange puisque je n’étais pas très enclin à l’achever, mais me désole et m’ennuie car je me retrouve à court ; à moins que je trouve l’énergie nécessaire pour me replonger dans l’italien de Ultime. Que faire ? (L’après-midi va être longue…) Encore que j’aie la possibilité, en dernier recours, de m’attaquer au spécial Dubuffet du magazine télé que j’ai acheté à la gare l’autre jour… La comédie. Cet exemplaire provient de la bibliothèque de Sayet. En page-titre, je trouve un curieux timbre imprimé à l’encre rouge : HOMMAGE DE L’ÉDITEUR. Cet exemplaire est recouvert d’une feuille de plastique transparent dont les rabats sont retenus par de bon gros bouts de ruban adhésif bien épais. En dernière page est collée une petite pochette en plastique qui permettait, je présume, de glisser la fiche de lecture. Dommage qu’elle n’y soit pas. Le livre y perd de son histoire…

 

5 octobre 2001