Cela allait de soi : après la lecture d’un livre consacré à Guitry, la moindre des choses était d’en lire un de lui. Il en restait deux dans la souffrance : Histoires de France et L’Esprit. J’ai choisi le second, édité au « Livre Contemporain » en 1958… Première partie, qui donne le titre à l’ouvrage, des accents cocardiers (mais c’est Guitry, et il avait aussi des défauts – ou disons que ses qualités avaient aussi certains défauts), un peu bêtement voltairiens (idem), mais de « belles choses », dont Twain (p. 26) et Allais (p. 28) ; et cette remarque, de lui, que je trouve admirable, p. 26...