Lever tard bien que j’aie entendu le réveil sonner (un portable peut-il porter le nom de « réveil » ?). Hier, mise en ligne et emballage (vingt-trois livres, et aujourd’hui, c’est bien parti pour qu’il y en ait autant), que ça. Télé, un drôle de western d’Ed Harris avec Jeremey Irons, sans accès à la version originale, malheureusement. Pas de lecture, si ce n’est ce qui figure à ma gauche. Dans la voiture, au retour de Bruxelles, nous parlions des contes de fée et des effets qu’ils pouvaient avoir sur les enfants (et de leur persistance dans la littérature actuelle ; je constate, avec surprise, au fil des livres qui me passent entre les mains, à quel point ogres, sorcières, fées, vampires sont présents dans les livres pour enfants). Sosthène a mentionné Bettelheim (La psychanalyse des contes de fées), mais personne n’a été fichu de raconter précisément le Petit chaperon rouge. Désobéit-il (elle) ou non ? Durant le tarot d’hier, j’ai posé la question : « Qui peut raconter en détails Le petit chaperon rouge ? » Ça a été la confusion la plus totale. Pot de beurre, galette, loup qui la mange, mais désobéit-elle (il) ? Mais quelqu’un a mentionné des chasseurs. Aux puces de Trawel, je suis tombé sur ce livre : Cendrillon et les contes par Perrault et Grimm, accompagnés (je me demande bien pourquoi) d’une traduction en anglais. Il se révèle qu’il y a deux versions : celle de Perrault, l’originale, qui a donné lieu à une seconde version écrite par les frères Grimm...