Si un livre ne résiste pas à
la fatigue, au dépit, à la mélancolie,
à la déprime, à la colère, c'est qu'il s'agit d'un
« mauvais » livre.
Je pense que je vais laisser tomber Céleste, comme j'ai décidé
de laisser tomber Orton...
31 août 1999