Note personnelle :
La voisine et sa copine qui rajoute (pas sûr, c’est
illisible)* au sujet du confinement : « Dès qu’on
entre, on a une boule. » J’ai
mis un moment à savoir à quoi cette note se rapportait. C’était
dans le jardin de Tourbe où je lisais ; de l’autre
côté du mur m’étaient
parvenues – comme souvent, au moins une fois par jour – les voix de la voisine
portugaise et d’une
(présumée) copine...
* « qui papotent » (c’est
le scan qui m’a
permis de le déchiffrer)
78 (12/4) style direct, première fois
to bed !
Pourquoi ai-je relevé cela, il le dit tous les soirs ?
88 CORANT ?
Courante ?
« [...] arguments we had against Taylor concerning a Corant – he saying that the
law of a dancing Corant is to have every barr to end in a pricked Crochet and
quaver [...]. » Dans l’un
de mes dictionnaires unilingues, je trouve « coranto », « sorte de danse
rapide » qui vient bien de la courante française... (J’ai
bien fait de ne pas me séparer de mes vieux dictionnaires au cours du
déménagement...) (Je suis tout de même étonné que les éditeurs ne donnent pas
davantage d’explications
au sujet des mots de l’époque
– ou du moins de ce qu’ils
en relèvent dans le manuscrit : « barr » est introuvable, je ne vois pas ce que
peut être un « pricked Crochet » et « quaver » signifie tout à la fois la croche
en musique et un tressautement – je viens de regarder une vidéo d’exemple
de courante, ce n’est
pas du tout ce à quoi je pensais – j’imaginais
le couple se tenir par le bras en crochets...)