20 « sa fille » etc., l
un de ses fameux passages codés...
Pour m
éviter le labeur de la saisie (dautant que la reliure serrée mempêche douvrir correctement le livre), je suis allé sur le réseau, mais (à la date du 23 janvier 1665) pour tomber sur un tout autre texte. Ah. Jen ai trouvé un autre qui semble être le bon (bizarrement de la même origine, The Diary of Samuel Pepys), mais avec de légères différences. Je vais tout de même devoir le saisir à cause dun problème dincompatibilité à la copie (mais ce sera moins pénible que douvrir le livre toutes les dix secondes pour en tirer trois ou quatre mots à chaque ouverture). « Thence to Jervas, my mind, God forgive me, running too much after sa fille [absent du site The Diary et remplacé par “ some folly ”], but elle not being within I away by coach to Change, and thence home to dinner ; and finding Mrs Bagwell waiting at the office after dinner, away elle [“ she ” dans The Diary] and I to a cabaret where elle and I avait été before [“ she and I have eat before ” dans The Diary], and there I had her company toute laprès-dîner [simplement “ tout ” dans TD] and had mon plein plaisir of elle [“ plein ” ne figure pas TD] – but strange to see how a woman, notwithstanding her greatest pretences of love à son mari [“ a ” sans accent dans TD] and religion, may be vaincue. » Je traduis globalement : « pardonne-moi mon dieu de courir après la fille de Jerva » chez qui il se rend, elle ny est pas, il va ensuite au Change, puis rentre chez lui pour dîner, puis trouve Mrs Bagwell au bureau, ils se rendent dans une taverne où ils étaient déjà allés auparavant, ils y restent ensemble, et, la dernière ligne : « [...] étrange de voir comment une femme qui tant prétend aimer son mari et la religion puisse être vaincue. »
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