Achevé. Entre le réel et l’imaginaire, il y a une zone d’ombre et de brume, épaisse et légère, grisante. J’y suis. Dans cette zone, rien ne s’explique et ici rien ne s’explique. Asahi parle, regarde, sent, et c’est ce qu’elle sent et ressent qui apparaît et s’écrit sans la recherche d’une résolution ; ça flotte, et ça me plaît (cette zone existe aussi dans L’Usine – y a-t-il d’autres textes d’elle traduits ?)… (Non, ce sont les seuls et apparemment les seuls qu’elle ait écrits, outre un recueil de nouvelles non traduit. Je note aussi que L’Usine a été publié avant Le Trou  ; je parierais qu’il a été écrit avant)